PARC NATIONAL DE CHITWAN
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CHITWAN
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Mercredi 18 avril 2018, la nuit a été encore très compliquée pour Hélène et on va commencer en douceur cette première journée de découverte de l’endroit. Dans la matinée, nous allons assister au bain des éléphants. À environ un kilomètre de notre hôtel, nous sommes conduits au bord de la rivière Rapti dans laquelle trois éléphants pataugent, accompagnés de leurs cornacs. Les touristes peuvent aussi monter sur leur dos et se faire doucher en même temps. Je ne résiste pas à l’envie d’y aller. Je grimpe sur son dos et sentir ses muscles sous mes jambes qui se contractent au moment où il se relève est incroyable ! Quelle puissance !! Mais comme il penche d’un côté en se levant avant de se stabiliser complètement, je doit me cramponner fermement pour ne pas tomber ! Et ensuite…il m’arrose copieusement avec sa trompe et je suis complètement trempé !! Hélène qui ne perd pas une miette de la scène est morte de rire.
Dans l’après-midi, une moto à trois roues passe nous prendre pour nous conduire au musée de la culture Tharu, principale ethnie du Téraï. Des panneaux explicatifs et des peintures murales nous décrivent le quotidien des tharus, leurs rituels, leurs cérémonies (mariage, naissance, mort) ainsi que leurs croyances. Nous serons surtout intéressés par les témoignages écrits de la population au moment de la création du parc. En effet, il a bien fallu que ce peuple quitte le secteur avec tout ce qu’il peut y avoir de terrible dans ces expropriations. Sur un dernier pan de mur sont accrochées des phtos représentants des trophées de chasse ou plutôt le carnage géneré par la soif de tuer de chasseurs sans scrupules. En effet avant la création du parc, la zone était une réserve de chasse . Au cours d’un safari sanglant, le roi Georges V et son fils tuèrent pas moins de 39 tigres et 18 rhinocéros.
Puis, nous arrivons au centre d’élevage des éléphants. Des buffles d’eau traversent la rivière. Nos pas nous conduisent jusqu’à une zone avec de grandes clôtures électrifiées pour protéger les humains des éléphants sauvages qui sont juste derrière, dans la jungle. Les éléphants domestiques ne sont que des femelles qui sont fécondées par les mâles sauvages qui viennent leur rendre visite (bien pratique!). Les bébés éléphants sont donc enchaînés à côté de leur maman, sous de grands abris de tôle ondulée. Hélène sera submergée par l’émotion et va verser quelques larmes devant ces grands pachydermes au service de l’homme et du tourisme… Il faut néanmoins relativiser, les jeunes éléphants passent une grande parti de la journée dans la jungle et rentrent le soir. De même les femelles élephants s’échappent parfois pour suivre les mâles sauvages, mais elles reviennent au bout de quelques jours, signe à mes yeux que leur traitement n’est pas si terrible que cela..On ne s’attarde pas.
Trop bien la, aventure avec les animaux, me rappelle un peu l afrique, mais on se sentais moins en danger que vous, en 4 /4 et le parc à pied vu que des animaux plus dociles on vas dire, attention à vous quand même, bien raconté avec les rhinocéros et l arrosage de l éléphant sur Stef trop marrant bisous
Hahaha, je peux te dire qu’on faissait pas les malins avec les rhinos !
Mais t’inqiètes, on avait quand même DEUX gardes armés avec nous !! Bon de bambous, mais quamd même ! 😀
c’était un marathon votre safari !!!!
j’espère que helene se remet de sa fatigue et que stef a apprécié la douche
c’était magnifique ce séjour au Népal .j’ai adoré ce que vous nous avez fait partagé
a bientôt pour de nouvelles aventures
Oui, c’est vrai que c’était un peu chaud, c’est le cas de le dire !
Et oui, ca va mieux maintenant !
Et c’est reparti pour les nouvelles aventures !!!