Mardi 29 août 2017, mon état s’étant un peu amélioré, c’est le départ en direction de Loja. Après environ 4h d’un trajet en bus très flippant, c’est la délivrance ! En effet, les conducteurs de bus en Équateurs conduisent très très rapidement y compris sur les routes de montagnes mais lui, il a battu tous les records !

Mercredi 23 août 2017, après un petit déjeuner dans la communauté, nous retournons à la fromagerie pour voir la livraison du lait, à dos de lama, de cheval, d’âne, d’homme ou en camionnette. Sur le trajet qui relie Guaranda à Riobamba, des vigognes broutent sur les pentes du Chimborazo.

Mardi 22 août 2017, c’est par une route de montagne qui passe tout près du Chimborazo (le point culminant de l’Equateur), que nous rejoignons Guaranda en bus puis Salinas en camionnette. Le ciel se dégage à notre passage, nous permettant d’admirer le volcan enneigé !

Jeudi 17 août 2017, c’est une journée de trajet d’Otavalo à Chugchilan en bus avec plusieurs changements et attentes. En cours de route, nous sympathisons avec 4 jeunes femmes (3 belges et 1 française) qui se rendent au même hôtel que nous.

Dimanche 13 Août 2017, il est temps de quitter les Galapagos non sans un sentiment de nostalgie…La journée sera consacrée au voyage en avion et différents trajets en bus jusqu’à Guayllabamba. Par une chance extraordinaire et sans l’avoir organisé, notre dernier bus nous dépose juste devant notre hôtel!

Jeudi 10 août 2017 c’est le départ d’Isabela vers Santa Cruz, avec un peu de nostalgie…Le voyage est beaucoup moins agité qu’à l’aller. Le bateau ne nous dépose pas directement sur le quai, il faut d’abord prendre un bateau taxi.

Lundi 7 août 2017, le volcan de la Sierra Negra (1124m), un des volcans les plus actifs de l’archipel et dont la dernière éruption date de 2005, nous attend. Une voiture vient nous chercher à l’auberge de jeunesse et nous conduit au départ de notre randonnée de 16km qui commence dans les nuages.

Samedi matin, l’avion nous emmène jusqu’aux Galapagos. L’atterrissage se fait sur l’île de Baltra et au moment de récupérer nos bagages, un chien policier fait une dernière inspection.

Le grand jour est arrivé.
Théo nous emmène prendre le bus à Valence à 5h45. Les adieux sont émouvants.
Après un vol sans soucis en dehors de la peur habituelle d’Hélène, nous avons une escale de 4 heures à Madrid.